Ah ça, c’est le rock de la violette : oh yeah ! Par rapport aux autres ionones, celle-ci est très encaustique, miel, ambrée, presque caramélisée mais pas dans le sens « bonbon gourmand » : non, elle va chercher le boisé, se masculinise avec une note cuir : elle a troqué son sac de mamie contre des boots compensées et sa note maquillage se transforme en piercing métallique. Après quelques heures, elle a presque quelque chose de bois ambré, tenace la petite ! …
Si Lisbeth Salander avait un parfum, ce serait une overdose de cette matière !